Témoignages

 

Kiye 2020
 
L'hebdomadaire de la paroisse de Dyou, n°101 du lundi 19 avril 2021. Pourquoi travailles-tu pour la nourriture qui se perd?  Rendez-vous avec les amis de Dieu
Textes du Jour :
1ère lecture : Ac 6, 8-15
Évangile : Jn 6, 22-29)
Bien-aimés dans le Seigneur, recevez nos salutations fraternelles depuis la paroisse de Dyou dans le diocèse de Sikasso au Mali.
« Travaillez non pas pour la nourriture qui se perd, mais pour la nourriture qui demeure jusque dans la vie éternelle » (Jn 6, 22-29)
De qui Jésus parle-t-il dans cet évangile ? Et c'est quoi travailler pour la nourriture qui se perd?
Bien-aimés dans le Seigneur, imaginons-nous le degré de la déception de Jésus lorsqu'il voit que ces gens se préoccupent plus des miracles plutôt que de la parole de vie grâce à laquelle il accomplit ces miracles ! Ils feraient mieux de retenir les paroles qu'il prononçait lorsqu'il accomplissait ces miracles, comme des formules magiques, de sorte qu'ils les prononcent eux aussi à chaque fois qu'ils auraient faim ou des malades à guérir! Mais hélas ! Que leur esprit était lent à  appréhender cela. 
C'est la réalité de notre vie, chaque fois que nous oublions de vivre de la parole de vie, chaque fois que nous oublions d'agir conformément à l'idéal d'un monde plus humain;  chaque fois que nous nous engageons dans des coteries, des régionalismes, tribalisme, dans des fanatismes, dans les mensonges, les injustices etc. Là aussi nous nous travaillons pour la nourriture qui se perd. Certes, en agissant ainsi, en mentant ou en nous engagent dans des magouilles de toutes sortes pour être bien vus etc, nous croyons jouer notre coup, gagner notre pari. Mais cela n'est que ruine de l'âme, une des façons de travailler pour la nourriture qui se perd.
Par contre, s'engager dans la voie de la justice, de la vérité et du respect de la dignité humaine, cela est une meilleure façon de travailler pour la nourriture qui demeure jusque dans la vie éternelle. Quel avantage as-tu à mentir simplement puisque tu es frustré ou veut obtenir ceci ou cela si c'est au prix de ton âme ?
Bien-aimés dans le Seigneur, pour comprendre la gravité de ce que nous dit le Seigneur Jésus dans l'Évangile, la première lecture de ce jour nous donne l'exemple palpable des gens qui travaillèrent pour la nourriture qui se perd, lorsqu'ils s'acharnèrent contre Étienne puisque,
rempli de la grâce et de la puissance de Dieu, il
accomplissait parmi le peuple des prodiges et des signes éclatants. Ce sont là des manœuvres que chacun de nous fait pour nuire à son prochain surtout lorsque nous voulons optenir ceci ou cela ou bien lorsque nous nous retrouvons dans l'ombre de ses talents. Le texte nous dit qu'intervinrent alors certaines gens de la synagogue dite des Affranchis, ainsi que des Cyrénéens et des Alexandrins, et aussi des gens originaires
de Cilicie et de la province d’Asie. Incapables de reconnaître le bien qu'il accomplit au milieu du peuple, mieux la main de Dieu à l'œuvre sur lui, pour des raisons que nous connaissons certes, puisqu'elles sont souvent aussi nôtres lorsque nous nous acharnons contre nos frères et sœurs, ils l’amenèrent devant le Conseil suprême. Ils produisirent de faux témoins, pour atteindre leur objectif: nuire à sa personne. Ce qu'ils obtinrent certes. Mais pour quelle fin? Peine perdue.
Oui chers frères et sœurs en Christ, il nous arrive certes à nous aussi, de sacrifier la vérité et la justice au nom de certaines idéologies régionalistes ou tribales, au nom de certains avantages primaires que sont la popularité, le poste dans telle ou telle structure; de livrer nos corps pour ceci ou cela, pour avoir de l'emploi etc. Là également, nous travaillons pour la nourriture qui se perd. Oui, tu deviendras patron, DG, supérieur de... que te dit ta conscience si elle est encore bien formée? Sinon c'est une souffrance, un éternel combat contre ta conscience. 
Oui bien-aimés dans le Seigneur, qu'il me plaise de reprendre ici un partage que fit un confrère Missionnaire d'Afrique le samedi soir dans notre chapelle de la maison d'accueil de Bamako. l'honnêteté oblige. Il disait : "il est étonnant de voir que malgré le niveau d'engagement des croyants dans le monde aujourd'hui, le nombre des messes que nous célébrons ou auxquelles nous assistons, les prières que nous recitons, les crimes et parfois même les plus odieux vont toujours croissant." Le pire est que ces crimes sont souvent commis par des croyants. Pourquoi passons-nous tout ce temps dans des églises, dans des mosquées si nous devons aussitôt après commettre tous ces crimes que l'histoire retient de nous comme des païens? Que chacun se pose cette question à chaque fois qu'il s'engage dans une entreprise mensongère ou nuisible. 
 A voir combien les religieux et religieuses se montent des coups bas les uns contre les autres, s'engagent sur la voie du mensonge le plus détestable au nom de l'utilité, il y a de quoi nous demander si vraiment nous sommes conscients que nous perdons notre temps dans des lieux de culte ! Tout cela sont des formes de travail pour les nourritures qui se perdent. Demandons la grâce de la vigilance contre toute entreprise qui nous expose à travailler pour la nourriture qui se perd et la force d'y résister. Amen.
Le Seigneur soit avec vous !
✍🏽 Père KIYE M. Vincent, Missionnaires d'Afrique (Père blanc)
Paroisse de Dyou
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L'hebdomadaire de la paroisse de Dyou n°102 du jeudi 29 avril 2021 à l'occasion de la fête de Catherine de Sienne :
Rendez-vous avec les amis
Textes du Jour :
Ac 13, 13-25
Jn 13, 16-20
Bien-aimés dans le Seigneur, recevez nos salutations fraternelles depuis Kinshasa où nous sommes en vacances
« Frères, si vous avez une parole d’exhortation pour le peuple,
parlez. » (13,13-25)
Frères et sœurs en Christ, s'il est vrai qu'au commencement était la parole et que la parole s'était faite chair en la personne de Jésus-Christ, venu nous révéler l'amour du cœur de Dieu, la parole a reçu dès ce jour, la fonction de révéler Dieu, de sorte que lorsque nous devons prendre la parole, notre langage doit révéler Dieu, notre langue doit annoncer les merveilles de Dieu aux hommes. C'est ce qu'a fait Paul devant ces chefs de la Synagogue. En véritable envoyé du Christ, il annonce les merveilles de Dieu, précisément comment il avait préféré Israël à tous les peuples et l'a conduit au travers le désert. Voilà un exemple qui nous ai donné. L'apôtre Paul, annonce les merveilles de Dieu pour conduire à la foi.
Et toi, qu'est-ce que tu annonce lorsqu'il t'est demandé de parler devant les gens?  Que racontes-tu lorsque l'occasion t'est donnée de parler de ceux dont tu as la responsabilité ? 
Oui chers frères et sœurs en Christ, Dieu nous a accordés la grâce de la parole pour annoncer les merveilles de son amour, pour nous encourager et non pour nous détruire mutuellement. Sommes-nous conscients de cela? Qu'en faisons-nous ? C'est la mission que chacun de nous a reçu, celle d'annoncer la gloire de Dieu. Quelque soit les difficultés, n'arrêtons pas d'annoncer les merveilles de celui qui nous a appelés des ténèbres à son admirable lumière. Ce sont ces merveilles que Jésus est venu annoncer en sa personne dont le lavement des pieds des disciples en fut une preuve. Malgré les persécutions et les oppositions multiples, Jésus n'a jamais abandonné l'annonce de la Bonne Nouvelle. Une attitude qu'il nous lègue en héritage lorsqu'il dit qu'un serviteur n’est pas plus grand que son maître, ni un envoyé plus grand que celui qui l’envoie.
Jésus nous révèle par-là, l'essence de sa mission qui fut de témoigner de l'amour du Père par la qualité de son engagement et nous invite en disciples fidèles, de marcher sur ses traces, en témoignant nous aussi à notre tour, et chacun dans le cadre qui est sien, de cet amour du Père par notre façon d'être, d'agir et de parler. Bref, par tout notre être parlant et agissant. C'est ce qu'a fait l'apôtre Paul au moment où il lui fut demander de prendre la parole pour exhorter le peuple. Il annonça les merveilles de Dieu. 
Demandons au Seigneur, la grâce d'être des témoins de son amour et de les annoncer par tout notre être et cela, avec  persévérance et fidélité. Amen.
Le Seigneur soit avec vous !
✍🏽 Père KIYE M. Vincent, Missionnaire d'Afrique
En vacances à Kinshasa
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Mali – Issa Kaou Djim : de l’imam Dicko à Assimi Goïta, portrait d’un « affranchi »

| Par - à Bamako
Mis à jour le 16 avril 2021 à 16h04
Issa Kaou Djim à son bureau, à Bamako, le 7 avril 2021.
Issa Kaou Djim à son bureau, à Bamako, le 7 avril 2021. © Mahamadou BAGAYOKO pour JA

Il agace autant qu’il fascine. Quatrième vice-président du Conseil national de transition, Issa Kaou Djim est à la tête de la plateforme Appel citoyen pour la réussite de la transition, qui exhorte Assimi Goïta à se porter candidat à la présidentielle.

Jusqu’au renversement d’Ibrahim Boubacar Keïta (IBK) par l’ex-Conseil national pour le salut du peuple (CNSP), le 18 août 2020, Issa Kaou Djim était l’un des leaders du Mouvement du 5 juin-Rassemblement des forces patriotiques (M5-RFP). Au sein du comité stratégique de ce mouvement hétéroclite de contestation, il représentait la Coordination des mouvements, associations et sympathisants (CMAS) de l’imam Mahmoud Dicko, dont il était le coordinateur général. Sous son leadership, la CMAS fera cavalier seul pour soutenir la transition, une position à contre-courant de celle du M5-RFP en froid avec les militaires putschistes bien avant l’installation des institutions de la transition.

En pleine contestation, il avait joué le trublion à travers ses sorties médiatiques, entraînant parfois le M5 au bord de l’implosion, comme lorsqu’il a déclaré : « le M5-RFP est mort de sa belle mort  », lors des concertations nationales, en septembre 2020. « Tout ce que j’ai fait, c’était en complicité avec l’imam, rétorque Issa Kaou Djim. La complicité entre nous était religieuse. » Les deux hommes ont d’ailleurs longtemps été décrits par certains observateurs comme « l’incarnation du mauvais et du bon flic ».

Lorsqu’ils se sont rencontrés en 2004, Mahmoud Dicko était un prêcheur charismatique et directeur de la Radio islamique. « J’écoutais ses prêches et je voulais créer mon organisation islamique Allah Kama Ton [Association pour servir la cause de Dieu], et il m’a encouragé  », se souvient Issa Kaou Djim, qui est encore aujourd’hui directeur de ce centre de formation coranique pour les jeunes et les femmes.

Le Peul et le Diawando

Natif de Bagadadji, quartier populaire situé en plein cœur de Bamako, Issa Kaou Djim, 54 ans, appartient à la communauté Diokoramé (Diawando), présente dans presque tous les secteurs de l’économie. Lorsqu’il quitte l’école, en 1979, il suit son oncle maternel au grand marché de Bamako, puis, en 1988, s’installe à son propre compte, dans la vente de tissus, notamment de bazin.

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NOUS AVONS TOUJOURS VOULU SAUVER LES INSTITUTIONS SANS NOUS OCCUPER DES CAUSES PROFONDES DES CRISES

Lors des évènements qui ont conduit à la chute de Moussa Traoré en 1991, il est « sorti pour marcher » et se fera alors appeler « CTSP » – du nom du Comité de transition pour le salut du peuple, qui dirigea le pays après le coup d’État. « Depuis ce temps-là, j’observe. J’ai vu la dislocation des partis politiques, qui ont fait pire que Moussa Traoré. Il n’y a pas d’alternance à la démocratie… Mais, nous n’avons jamais eu de démocratie. Nous avons toujours voulu sauver les institutions sans nous occuper des causes profondes des crises. Et aujourd’hui le pays est dévasté », déplore Issa Kaou Djim, qui ne rate jamais une occasion de critiquer le personnel politique malien.

Djim, l’enfant terrible de Dicko

« Je suis un libéral qui intègre certaines valeurs conservatrices », confie l’autodidacte, qui a lu Marx et Lénine, et a suivi l’enseignement coranique : « L’imam a contribué à ma formation, poursuit-il. Il connaît la société malienne et a une grande capacité d’analyse. Il a une lecture éclairée de l’islam. » Par ailleurs, l’imam Dicko lui donnera d’ailleurs sa fille en mariage.

« L’avantage de Kaou Djim, c’est qu’il est dynamique », dit de lui Hamidou Magassa, un anthropologue proche de Mahmoud Dicko, qu’il a conseillé au sein du Haut conseil islamique du Mali (HCIM). « Pour comprendre le couple Dicko-Djim, il faut l’inscrire dans le marché malien, notamment à travers les liens entre le Peul et le Diawando, son agent d’affaires, explique Hamidou Magassa. Les Peuls font de la poésie et les Diawambé mettent en vente leur bétail. Le Peul a toujours un Diawando dans sa garde rapprochée. »

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DJIM A PRIS LA PLACE DE TOUS LES GENS QUI ONT AIDÉ DICKO PENDANT SON PREMIER MANDAT

C’est en 2013, lorsque Mahmoud Dicko est élu pour un second mandat à la tête du HCIM, qu’Issa Kaou Djim entre dans le bureau exécutif de l’instance, fort de l’expérience acquise sur les chaînes de télé bamakoises, où il animait des émissions sur l’islam et la société. Et l’imam fera de lui plus tard son porte-parole. « Djim a pris la place de tous les gens qui ont aidé Dicko pendant son premier mandat. Il a fait le vide autour de l’imam et a capitalisé sur lui, confie un ancien collaborateur de l’imam. Dicko écoute énormément les jeunes, ne supporte pas les gens de son âge et se soumet à ses aînés… Djim a été l’enfant terrible. »

Son éviction du poste de coordinateur général de la CMAS, en janvier dernier, va distendre les liens entre Djim et celui qu’il appelait jusqu’alors « le très respecté et éclairé imam » Mahmoud Dicko. « Mes potentialités ne peuvent pas être reléguées à la périphérie, je ne peux plus rester sous les ordres. Quand il a dit qu’il retournait à la mosquée, soit je restais son caporal, soit je m’affranchissais. Le choix a été vite fait », dit Issa Kaou Djim, désormais membre du CNT et quatrième vice-président de la transition. « “S’affranchir” veut dire pour lui “Je suis ton égal”, commente Hamidou Magassa. La rupture est classique. »

Son cheval de bataille : Goïta candidat

Depuis quelques mois, son cheval de bataille est la candidature à la magistrature suprême d’Assimi Goïta. Il pilote d’ailleurs la plateforme « Appel citoyen pour la réussite de la transition », qui exhorte le vice-président à se présenter. « L’imperturbable patriote Assimi Goïta sera le candidat du peuple en 2022, a-t-il lancé début mars. Nous pensons qu’il n’y a pas d’alternative à cette démarche car il faut arrêter les politiciens de 1991. Aujourd’hui, l’espoir est permis avec le leadership d’Assimi Goïta. »

En a-t-il parlé avec le colonel Goïta ? « Je ne lui ai pas demandé, mais il est l’homme de la situation : un bon candidat pour la rupture. Le pays est tombé si bas qu’il faut de l’autorité. Goïta fait partie des officiers propres, et il ne doit pas tourner le dos au peuple  », répond Djim, qui décrit ses relations avec l’ancien homme fort de la junte comme « empreintes d’estime et de respect mutuel ». Pour le politologue Ballan Diakité, « Issa Kaou Djim est rarement sur le registre du réel. Ses propos sur Goïta révèlent le caractère machiavélique de ceux qui ne visent que leurs intérêts et n’ont aucune culture politique. »

Droit dans ses bottes

La charte de la transition interdit pourtant à Assimi Goïta de se porter candidat. Mais pour Issa Kaou Djim, ce n’est pas un obstacle : « La charte est politique, c’est nous qui l’avions rédigée. Mais elle relève d’un faux débat. Le vrai, c’est la volonté du peuple. » Il ajoute à son plaidoyer pro domo : « Les grandes démocraties sont passées par des militaires, comme le général de Gaulle, mais aussi Paul Kagame, qui est respecté, ou encore Jerry Rawlings, qui a remis le Ghana sur les rails. La seule force qui peut rassurer, c’est l’armée. »

Malgré l’appel à son exclusion du CNT, du Conseil supérieur de la diaspora et le rappel à l’ordre de ses pairs de la conférence des présidents (devant le colonel Malick Diaw), Issa Kaou Djim reste droit dans ses bottes : « Goïta, c’est la solution », maintient-il.

Madjouma KONE et Fatoumata SOUMAHORO : deux femmes jeunes et brillantes

nommées à des postes stratégiques au sein du Groupe Défis & Stratégies


Le Groupe Défis & Stratégies a, au cours de son Séminaire Bilan qui s’est tenu du 25 au 26 février 2021 à Yakassé Feyassé (Village moderne situé à l’Est de la Cote d’Ivoire), annoncé la nomination, au poste clé de ses opérations en Côte d’Ivoire, de Madjouma KONE dans la fonction de Chief Operating Officer.

Elle est donc à la tête de la plus importante filiale du réseau Défis & Stratégies présent en Afrique et dans quelques régions du monde.

 

Madjouma KONE

© Madjouma KONE – Chief Operating Officer au sein du groupe Défis & Stratégies.

Au cours de cette rencontre, le Président du Groupe a annoncé le choix de Fatoumata SOUMAHORO pour diriger la grande transformation amorcée. Elle a aussi été confirmée au poste stratégique de patron de l’international, dans la fonction de Chief International Officer.

© Fatoumata SOUMAHORO – Chief International Officer au sein du groupe Défis & Stratégies.

A ce poste, elle sera chargée de coordonner les activités des Filiales et de piloter leurs performances.

Il est bon de rappeler qu’elles ont toutes les deux intégré le Groupe Défis & Stratégies en 2012 en tant que Chefs de Projets et connaissent un parcours exemplaire au sein du Groupe.

Le Président a aussi confirmé les Directeurs des autres filiales dans leurs fonctions à savoir :

  1. Alfred SAWADOGO, Directeur Général de Défis & Stratégies Burkina
  2. Rokhaya TANDIAN, Directrice Exécutive de Défis & Stratégies Sénégal
  3. Michele KABANGU, Directrice Exécutive de Défis & Stratégies RDC

À propos du Groupe Défis & Stratégies

Le Groupe Défis & Stratégies est une entreprise internationale de Conseil exerçant principalement dans les domaines de l’Energie, des Télécommunications, du Numérique et de l’Education.

Ses services s’adressent principalement aux Etats, aux Administrations Publiques, aux Grandes Entreprises privées et aux Organisations Intermédiaires en quête de Développement, de Transformation ou d’Innovation.

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Sous-catégories

Les informations sur nos maisons de formation datent de quelques années, et nous avons demandé aux responsables de ces maisons de nous donner des nouvelles plus récentes.
La première réponse reçue vient de Samagan, le noviciat près de Bobo-Dioulasso (lire la suite)

 

La deuxième réponse nous a été donnée par la "Maison Lavigerie", notre maison de formation à la périphérie de Ouagadougou, où les candidats ont leurs trois premières années de formation (lire la suite)