Témoignages

 

Kiye2019
Hebdomadaire de la paroisse de Dyou : Rendez-vous du Père Vincent KIYE avec les jeunes n°33 du 07/10/2019
 "Jonas se leva, mais pour s’enfuir à Tarsis, loin de la face du Seigneur." (Jon 1, 1 – 2, 1.11)
Bien aimés dans le Seigneur, Shaloom!
Chaque jour qui passe, chaque nouvelle semaine qui commence est une occasion que Dieu nous donne pour comprendre et faire sa volonté et vivre en harmonie avec le ciel et la terre. Mais bien souvent, nous choisissons de nous enfuir, loin de la face du Seigneur. C'est pourquoi, le présent numéro, le 33 ème de l'hebdomadaire de la paroisse de Dyou, se veut un miroir à travers lequel nous lisons comment nous fuyons loin de la face du Seigneur et allons à notre propre perte, à Tarsis.
Confrontant  l'épisode de Jonas à notre vie quotidienne, nous trouverons quelques similitudes non moins regrettables. Pour y parvenir, posons-nous d'abord ces questions :
Qui était Jonas? Que s'est-il passé lorsque le Seigneur lui jeta son regard et pourquoi cela?
 Telles sont les questions qui nous ont guidé pour avoir les clés de cette lecture.
En effet, le texte nous dit que Jonas était un homme de Dieu, un "hébreu qui craignait le Seigneur, le Dieu du ciel,
qui a fait la mer et la terre ferme''. Ce qui veut dire qu'il marchait en présence du Seigneur et vivait pour ainsi dire en harmonie avec le ciel et la terre, comme chacun de nous, chaque fois que nous vivons dans l'amour, la justice, la paix et dans la vérité devant Dieu.
Malheureusement, il arrive que la fragilité humaine nous emporte, que les pesanteurs existentielles nous tirent vers le bas, vers des légèretés non souhaitables et non souhaitées. Ainsi, chaque fois que ces légèretés nous arrivent, disons-nous que nous avons pris, une route autre que cette du Seigneur. Disons-nous que nous sommes loin de la face du Seigneur.
La face du Seigneur c'est tout espace où règne l'amour vrai, le respect mutuel et le respect des engagements pris, l'espace où règne la vérité, la justice, la fidélité bref, toutes les valeurs  existentielles. Il n'est pas rare que nous nous éloignons de ces univers des valeurs. 
Et lorsque cela nous arrive, Dieu peut permettre qu'un grand poisson nous 'avale' sans nous dévorer pour  nous faire changer de rive ou de cap en passant trois jours dans ses entrailles, synonyme d'une nouvelle vie dans le Seigneur. 
Oui chers frères et soeurs en Christ,
Peut-être la difficulté que tu traverses présentement est un bref séjour de trois jours dans les entrailles du grand poisson. Quelqu'un t'a causé du tort, des ennuis en justice, au tribunal, au service etc, un malheur t'est arrivé, cela peut être un passage dans les entrailles du grand poisson. Que ton espérance dans le Christ ressuscité le troisième jour, ne s'éteigne pas. considère cet instant douloureux comme un bref séjour de trois jours dans le ventre de la terre, dans les entrailles du grand poisson.
Vous avez querellé avec ton partenaire suite à ceci ou cela, ne decidez surtout pas de vous séparer. Dieu ne l'a pas fait avec Jonas malgré la désobéissance  de ce dernier. Dieu s'est servi des créatures, navire, vagues, matelots et grand poisson pour reprendre Jonas et le ramener vers lui.
Bien aimé dans le Seigneur, celui qui  apparaît aujourd'hui comme ton bourreau, est peut-être une vague de la mer qui t'alerte que tu es en train de t'éloigner de la face du Seigneur. Peut être que c'est un matelot qui te jete dans l'eau sans savoir qu'il est en train de contribuer à l'accomplissement de la volonté de Dieu dans ta vie. Peut-être qu'il est ce grand poisson qui te facilite de changer de rive, de changer de vie.
Oui, humainement et sur le coup il nous est difficile d'appréhender tout cela avec diligence et nous y prendre à temps réel. Demandons toujours la grâce de la clairvoyance et lorsque nous prenons conscience de cela, engagons-nous pour le combat contre les anti valeurs. Elles nous éloignent de la face du Seigneur.
Seigneur soit avec vous !
 
Hebdomadaire de la paroisse de Dyou : Rendez-vous du Père Vincent KIYE avec les jeunes n°34 du 14/10/2019
 
Bien aimés dans le Seigneur,
Recevez nos salutations depuis la paroisse de Dyou au Mali!
Avec l'apôtre Paul, prenons conscients et agissons en conséquence de manière à attester que « Nous avons reçu par le Christ grâce et mission d’Apôtre, afin d’amener à l’obéissance de la foi toutes les nations païennes » ( Rm 1, 1-7)
C'est le texte que nous avons choisi pour ce nouveau numéro de notre hebdomadaire du 14 octobre.
Saint Paul reconnaît et nous invite à reconnaître avec lui, que nous avons tous et toutes, reçu par le Christ, grâce et mission d’Apôtre, afin d’amener à l’obéissance de la foi nos frères et nos soeurs. Qu'en faisons-nous ?
Oui chers frères et soeurs,
il s'agit là de l'exigence de la conversion des coeurs. Et cette mission est confiée à chacun de nous, pas seulement aux aux consacrés prêtres, religieux et religieuses.
C'est ma mission vis-à-vis de mon ami, de mon partenaire, de mon collègue, de ma domestique (bonne ou fille de ménage), vis-à-vis  de manœuvre etc.
Posons-nous la question de savoir comment  je capitalise cette grâce et exerce cette mission dans ma vie, dans mes relations avec les autres?
D'emblée, nous dirons que la façon la plus authentique et efficace d'accomplir cette mission c'est à travers notre témoignage de vie, notre comportement vis-à-vis de nos frères et soeurs. Agir envers eux en homme réfléchi, raisonneur, intelligent et religieux. 
Aujourd'hui notre monde souffre plus de complaisance, du fanatisme, du favoritisme etc. Avec cela, nous pouvons pas amener nos frères à l'obéissance de la foi, à agir conformément aux exigences de l'Évangile. Cela exige l'amour dans la vérité. Être capable de de se remettre en question et par là, avoir le courage d'interpeller notre entourage dans un quête de l'excellence. Car la conversion doit partir d'abord de nous, de l'intérieur pour s'étendre aux autres.
C'est lorsque nous sommes nous exigeants envers nous-mêmes que nous pourrons l'être ou avoir le courage de l'être également envers les autres.
Malheureusement, aujourd'hui notre monde est remplit de complaisants, des fanatiques et de complices que personne n'a plus le courage d'interpeller l'autre ou les autres sur le chemin du changement, mieux de la conversion. Nous utilisons souvent à tort cette assertion : "nul n'est parfait". C'est devenu un argument valide pour justifier nos péchés, nos erreurs à tel point qu'une vraie solidarité dans le mal gagne du terrain et fragilise notre monde. Personne n'a plus le courage d'amener l'autre a l'obéissance de la foi.
D'où, la grande faiblesse de la pratique de notre religiosité aujourd'hui.
Demandons la grâce de la conversion et le courage de nous interpeller mutuellement dans la recherche de comportement digne de foi. Amen.
Le Seigneur soit avec vous!
✍🏾Père KIYE M. Vincent, Mafr
Aumônier des jeunes de la paroisse de Dyou/ Kadiolo
E-mail: Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
Whatsapp : +223 72657482

De la part du Provincial de France.

"Christ est ressuscité des morts, prémices de ceux qui sont morts". 1 Cor 15, 20



Le Père Provincial de France des Pères Blancs
vous fait part du retour au Seigneur du Père
The Provincial of the Missionaries of Africa of France
informs you of the return to the Lord of Father


André LEBROU

du diocèse de Rodez

décédé le 1er octobre

à Billère (64140)

à l'âge de 92 ans


dont 65 ans de vie missionnaire essentiellement au Mali et en France.

He died on the , 2019, in Billère, France,
at the age of 92 years of which 65 of missionary life in Mali and in France

Prions pour lui et sa famille, ainsi que ses proches et amis.

Patrick Bataille, M.Afr.


*********************************************************

Jalons de la vie du
Père André Lebrou

Nat.: Fr.
Diocèse d'origine
Rodez
Naissance
Roquefort
22/09/1927
Année Spirituelle
Maison-Carrée
28/09/1950
Serment
Thibar
27/06/1954
Prêtrise
Carthage
10/04/1955


01/09/1955 Mopti Mali
01/01/1963 "Mission "Pana" Ségué
01/07/1964 Mopti
01/07/1965 Vicaire Mopti
14/01/1967 Grande Retraite Villa Cavalletti Italie
01/10/1973 Vicaire Gao Mali
01/01/1986 Recyclage Toulouse,Ringaud France
01/01/1987 Vicaire San, Diocèse de San Mali
16/09/1993 Session-Retraite Jérusalem
22/02/1994 Rapat.San.>18.06.94
12/09/2001 Session 70+ Roma, Italie.
15/01/2005 Résident Billère France
18/05/2005 Nommé (PE2005/06) France
01/10/2019 Retour au Seigneur à Billère


"Il ne faut pas que vous vous attristiez comme les autres qui n'ont pas d'Espérance". Thess 4,13

Nous le recommandons instamment à votre prière.

Le phénomène «Atlantique» de la Franco-Sénégalaise Mati Diop sort en salles

Mama Sané dans «Atlantique» de Mati Diop.
© © Les films du bal

Avec sa caméra, elle a renversé le point de vue et regardé le drame de l’immigration de l’autre côté. La Franco-Sénégalaise, 37 ans, première cinéaste femme d’origine africaine ayant remporté le Grand Prix à Cannes, sort son film « Atlantique » en France ce mercredi 2 octobre.

Avec Atlantique, Mati Diop est restée au Sénégal avec celles qui ne prennent pas le bateau, mais pleurent les morts avant d’organiser à leur façon la révolution. Après une avant-première au Grand Théâtre de Dakar début août, ce film-phénomène va à partir d’aujourd’hui à la rencontre de son public en France.

La Franco-Sénégalaise tient un plaidoyer à la fois poétique, politique et onirique appelant à ne pas baisser les bras face aux drames de l’émigration clandestine dans les pays africains. Elle choisit une façon inédite de braquer la caméra sur la situation d’une jeunesse sénégalaise tellement désespérée qu’elle est prête à plutôt mourir qu’à rester. Son but: montrer le drame de l’exil vu par les forces féminines.

La mer, dès les premières images, elle est là. Face à elle, même la caméra tremble parfois. Filmée comme une personne de caractère sous tous les angles, de près et de loin, calme et déchaînée, tendre et terrifiante, lumineuse et ténébreuse, la mer est le fil de cette histoire qui se déroule dans une banlieue populaire de Dakar, la capitale du Sénégal.

Le chantier de la grande tour

Tout au début, sur les premières images, on ne la voit pas, mais on l’entend gronder, au pied du chantier de la grande tour nommée Atlantique. Ici, entre ciel et terre, les ouvriers s’activent et s’épuisent. Cela fait trois mois qu’ils n’ont pas été payés. Ils se plaignent, ils se révoltent, mais tout ce qu’ils récoltent, c’est le mépris du grand patron. Alors, la seule consolation pour Souleiman, l’un des jeunes ouvriers, c’est Ada, son amoureuse.

Mais, même quand ils s’embrassent, l’Atlantique est là. « Tu fais que regarder l’océan. Tu ne me regardes même pas », lui reproche Ada, incarnée avec subtilité et grandeur par Mame Binta Sane. Leur amour semble semé d’obstacles. Ils doivent se rencontrer en cachette. Ada est promise en mariage à un homme riche. Elle s’en fiche. Elle ne l’aime pas. Son cœur appartient à Souleiman. Mais, un jour, endetté et désespéré, celui-ci prend la mer sur une pirogue pour conquérir l’Europe…

Les fantômes des migrants

C’est à partir de ce moment que Mati Diop innove avec sa caméra en restant au Sénégal avec celles qui attendent, brisées, dévastées. La tempête arrive, le bateau se brise face aux vagues hautes comme une maison. Mais, pendant qu’on vit le drame de l’exil avec les yeux d’une femme abandonnée, se produisent alors des choses bizarres : le lit de noces prend feu, Ada et ses copines Fanta, Dior et Mariana commencent à être frappées par des maladies mystérieuses face auxquelles même les marabouts s’avèrent impuissants. Surtout, certains disent avoir aperçu les fantômes des migrants restés en mer.

C’est de là que la résistance va partir contre les humiliations et pour une vie en dignité. Les femmes envoûtées et possédées réclament leur dû. Les corps sans tombeau au fond de l’océan rejoignent le monde des morts-vivants. Quand l’infini de la poésie se mêle au fantastique et au tragique de la vie, l’injustice du monde ressurgit du fond de l’Atlantique. Et ce n’est pas anodin que ce soit une femme qui soit porteuse de cette émancipation.

La force féminine et la liberté cinématographique

Cela montre aussi le chemin parcouru par Mati Diop. En 2010, dans son court métrage Atlantiques, elle racontait le drame de l’exode avec un regard encore très documentaire et via la traversée d’un jeune homme. Aujourd’hui, avec son premier long métrage tourné en wolof, elle met l’accent sur la force féminine et l’imagination pour assumer sa liberté cinématographique, mais aussi pour essayer de dépasser et changer une réalité devenue insoutenable des deux côtés de la rive. Née en 1982 à Paris, elle a toujours déclaré : « Je viens à la fois d’ici et d’ailleurs, du Sénégal ».

Souvent décrite comme la relève du cinéma sénégalais, Mati Diop est une admiratrice du cinéma déroutant et envoûtant du réalisateur thaïlandais Apichatpong Weerasethakul, Palme d’or en 2010. Après son Grand Prix à Cannes, la fille du musicien Wasis Diop est bien partie pour représenter le Sénégal aux Oscars. Ainsi, elle s’affirme aujourd’hui comme une digne héritière de son oncle, le célèbre cinéaste sénégalais Djibril Diop Mambéty, qui avait reçu en 1973 le Prix de la critique à Cannes pour Touki Bouki.

À écouter aussi : Mati Diop, au-delà de l'horizon

Chronologie et chiffres clés

[Chronique] Jacques Chirac, bien-aimé Françafricain

 
 
Par

Damien Glez est dessinateur-éditorialiste franco-burkinabè

L’ancien président français laissera le souvenir d’un ami sincère du continent, même si les motivations de sa politique africaine étaient « franco-centrées » et ses méthodes paternalistes contestables…

Décédé ce 26 septembre à l’âge de 86 ans, Jacques Chirac inspire des hommages émus sur un continent africain qui avait adopté le cinquième président de la cinquième République française. Ce label d’« africanité » décernée au monstre politique de la droite gaulliste et post-gaullienne se révèle une pièce à deux faces.

En visite dans près de 40 pays du continent, le grand échalas habituellement balourd en public se révélait aérien et transpirait la sincérité lorsqu’il traversait, vitres ouvertes, les capitales africaines. Sur un point, il aura, pour une fois, réconcilié les populations et les politiciens africains : « Chichi » le chaleureux méritait les accueils folkloriques et les pagnes à son effigie, bien plus que ses prédécesseurs ou successeurs donneurs de leçon, notamment Mitterrand et Sarkozy.

Lutte contre le paludisme et le sida, annulation de la dette, revalorisation des pensions des tirailleurs, promotion des arts dits « premiers » : Jacques Chirac plaidait ostensiblement pour l’Afrique et singulièrement pour les anciennes colonies de la France.

Copinage françafricain

Car – et c’est la deuxième face de la pièce – les liens de l’ancien président avec le continent rimaient avec pré carré francophone. L’amical compagnonnage rimait avec copinage françafricain. Qui trop embrasse (les dirigeants) mal étreint (les peuples) ? À la table de l’au-delà, Jacques Chirac devrait dîner de la tête de veau à la gauche du sulfureux Jacques Foccart et à la droite de l’équivoque Omar Bongo.

S’il arrive qu’une fois sur mille, les formulations tartes à la crème se révèlent justes, le surnom « Chirac l’Africain » pourrait être suivi d’une assertion qui résonne pourtant comme une brève de comptoir : « C’est la fin d’une époque ». Celle d’un Charles Pasqua lui-même décédé ou d’un Patrick Balkany aujourd’hui condamné, celle d’un Jean-Bedel Bokassa ou d’un Gnassingbé Eyadema, celle des approximations déontologiques, celles des soupçons de mallettes et de compromissions jugées « light » sous couvert de l’amitié intercontinentale.

Celle où le politiquement correct embryonnaire n’empêchait pas le président Chirac d’évoquer « le bruit et l’odeur » de communautés immigrées. Celle où les réseaux sociaux n’étaient pas là pour se saisir d’un tel dérapage raciste et froisser une carrière politique. En France et en Afrique, la popularité qui suinte des hommages posthumes est peut-être moins préfabriquée que d’habitude…

Société des Missionnaires d'Afrique

Le Père Réal Doucet, Provincial des Amériques,
vous fait part du retour au Seigneur du Frère

Germain-Marie Lussier

le lundi 12 août 2019 à Sherbrooke (Canada)
à l’âge de 94 ans dont 66 ans de vie missionnaire
au Ghana, au Burkina Faso et au Canada.

Prions pour lui et pour ceux qui lui étaient chers.

Jalons de vie du Frère Germain Lussier

Né à St-Gérard-Majeur
le 23/03/1925
Année spirituelle Serment missionnaire temporaire Serment missionnaire définitif
dans le diocèse de Sherbrooke 31/07/1951 31/07/1953 14/08/1959 
 Nationalité : Canadien  St-Martin (Can) St-Martin (Can) Kaleo (Ghana) 
01/08/1953 Lac Vert Canada
10/11/1955 Montréal,St-Hubert Canada
01/01/1957 Daffiema Ghana
01/04/1958 Nandom Ghana
06/01/1959 Petit Sém.StCharles Tamale,Minor Semin. Ghana
01/04/1960 Gd Séminaire Tamale,Major Semin. Ghana
21/09/1961 Petit Sém. Tamale,Minor Semin. Ghana
25/11/1962 Damongo Ghana
15/02/1963 Grand Séminaire Tamale,Major Semin. Ghana
09/11/1964 Damongo Ghana
01/01/1965 Grand Séminaire Tamale,Major Semin. Ghana
13/01/1968 Grande Retraite Villa Cavalletti Italie
01/01/1969 Conseiller Régional Ghana
01/01/1969 Tamale,Holy Cross Ghana
01/07/1969 Daffiema,D.Wa Ghana
01/11/1970 Nandom,D.Wa Ghana
01/01/1975 Hamile Ghana
01/10/1978 Session-Retraite Jérusalem Israël / Palestine
10/02/1979 Salaga,D.Tamale Ghana
01/01/1980 Bimbilla Ghana
01/12/1982 Tamale,Reg.House Ghana
01/01/1985 Prof.+Dioc.mainten. Tamale,WF Tr.Centre Ghana
11/05/1988 Formation Kossogen,1ère Etape Burkina Faso
11/10/1992 Départ pour Province Canada
04/01/1993 Winnipeg Canada
01/07/1993 Nommé au Canada Canada
25/04/1995 Maintenance Lennoxville Canada
06/10/1997 Service confrères Canada
01/09/2013 Résidence Sherbrooke Canada
01/09/2017 Résidence H.C. Sherbrooke Canada
12/08/2019 Retour auprès du Père Sherbrooke Canada

Sous-catégories

Les informations sur nos maisons de formation datent de quelques années, et nous avons demandé aux responsables de ces maisons de nous donner des nouvelles plus récentes.
La première réponse reçue vient de Samagan, le noviciat près de Bobo-Dioulasso (lire la suite)

 

La deuxième réponse nous a été donnée par la "Maison Lavigerie", notre maison de formation à la périphérie de Ouagadougou, où les candidats ont leurs trois premières années de formation (lire la suite)