Témoignages

 

Deux textes pris sur le site internet de "Prions en Eglise"

En chemin avec Jésus

Ph.Berrached

 
Je me prépare à vivre ce mois de mars “charnière”, passage vers Pâques, spirituellement, intellectuellement et pastoralement. Spirituellement, par un pèlerinage en Terre sainte. Intellectuellement, en travaillant mes homélies pour le Triduum. Pastoralement, car mars est un mois charnière pour les étudiants dont j’ai la charge.

Je reviens d’un pèlerinage Prions en Église en Terre Sainte. Pour les pèlerins comme pour moi, ce fut  l’occasion de marcher dans les pas du Christ. Cheminer dans le désert, à Nazareth, au lac de Galilée, à Bethléem, à Jérusalem… nous fait percevoir l’incarnation autrement. Les lieux dont nous parlent les lectures de nos eucharisties sont là, sous nos yeux. Dieu a visité son peuple. Oui, c’est une affaire sérieuse. Dieu nous aime. Il l’a montré et nous le montre encore. Voilà une belle porte d’entrée pour le Carême.

Des Rameaux à Pâques, c’est le moment où une communauté se rassemble, grandit en nombre. Comme aumônier d’étudiants, je sais que mars est un mois charnière, un passage. C’est là qu’une année se joue. Mois de travail ou de découragement.

Avec la pastorale étudiante, nous allons vivre, ce mois-ci, une journée en forêt en quatre étapes : une marche détente ; un premier arrêt où nous prendrons le temps de vivre une lectio divina  ; après une nouvelle marche, une eucharistie en forêt ; un repas fraternel.

Le monde étudiant m’invite à me déplacer. Rien n’est blanc ni noir. Chacun est en chemin. Et, dans chacun de ces chemins, je vois l’action du Seigneur. Je ne crois plus que l’on doit se désespérer d’un manque de foi chez les jeunes. Ils cheminent et c’est en cherchant avec eux que l’on redécouvre la joie de suivre le Christ.

Père Philippe Berrached, assomptionniste, Bruxelles

La marque du chemin

P. Jacques Nieuviarts


Cette fois, nous sommes dans la ligne droite vers Pâques, même si intérieurement le chemin est parfois sinueux ! La parole de Dieu le trace peu à peu en nous. Elle corrige en nous ce qui a besoin de l’être. Elle aplanit. Elle réconcilie, elle apaise. Elle nous entraîne au large. Elle révèle en nous le chemin de Dieu. La parole du prophète Joël, le mercredi des Cendres, en appelait au cœur : « Revenez à moi de tout votre cœur ! » (Jl 2, 12), tandis que Paul insistait : « Le voici maintenant le moment favorable » (2 Co 6, 2).

Où en sommes-nous aujourd’hui de la prière, du jeûne et de l’aumône et du partage (Mt 6, 1-18) ? La question est essentielle, non pas pour vérifier l’avancée de nos résolutions ou de nos « sacrifices », mais parce qu’il en va de l’amitié avec Dieu. La prière nous façonne le cœur (Mt 6, 7-15). Le jeûne simplifie nos vies et nous guide vers l’essentiel : notre façon d’aimer. Isaïe le rappelle vertement : le jeûne n’est pas de l’ordre de la performance que Dieu devrait homologuer. Il regarde au cœur ! Le jeûne entraîne vers l’autre dans les gestes de l’amitié. Il porte vers le souci de tous. L’aumône ou le partage en sont les autres noms (cf. Is 58).

Isaïe nous rappelle encore à l’accueil de la Parole, en des mots tellement encourageants pour nous : comme la neige ou la pluie, elle ne revient pas vers le Seigneur « sans résultat, sans avoir fait ce qui [me] plaît, sans avoir accompli sa mission » (Is 55,10-11). Nous pouvons poursuivre le chemin avec confiance. L’enjeu du Carême est peut-être, au plus profond, l’amitié avec nous-même et avec Dieu, avec le pauvre aussi, et avec tous. Bon chemin vers Pâques.

P. Jacques Nieuviarts, conseiller éditorial de Prions en Église

 

 

Reçu d'un couple d'amis le fichier joint :

humour

 

 

Un peu d'histoire...

Cette Association avait pour but d’aider les « enfants de la rue » à changer de vie peu à peu, à apprendre un métier, afin de pouvoir dans l'avenir se prendre en charge, et de devenir en plus capables de lire et d'écrire.
En fin 2001, je venais d'être nommé secrétaire de la Province d'Afrique de l'Ouest, et je dois dire que ce travail de secrétariat ne me prenait pas beaucoup de temps, ce qui m'a permis de passer de nombreuses heures pour essayer de trouver un financement au projet Taab Yinga, et de réfléchir aux structures nécessaires qu'il faudrait mettre en place. J'avais avec moi toute une équipe de laïcs, des personnes motivées, avec qui nous avons pu cogiter tranquillement à ce qu'iil faudrait mettre en place pour accueillir ces jeunes en difficulté.

Par ailleurs, j''ai commencé à prendre du temps pour essayer de rencontrer ces enfants dans la rue en compagnie d'un éducateur, et c'était pour moi une expérience toute nouvelle. Heureusement, comme je parlais leur langue maternelle, cela facilitait le contact et je découvrais avec stupeur tout ce que ces jeunes avaient pu vivre jusqu'ici, depuis les raisons qui leur avaient fait quitter leur village natal (souvent pleines d'illusions...) jusqu'à leur vécu quotidien dans la rue, avec mendicité et vol à l'appui.

Des fonds venus d'Allemagne ont permis de construire le centre : logement, ateliers, salles de réunion, et autres, et c'est en octobre 2005 que le centre apu être ouvert officiellement

Les métiers proposés aux enfants étaient les suivants : soudure, mécanique moto, couture, fabrication de cartes « batik » pour la vente. Plusieurs éducateurs et moniteurs d'ateliers ont été embauchés pour assurer la formation et le suivi de ces enfants, essentiellement des garçons. L’alphabétisation était aussi au programme, et un atelier de menuiserie a également été mis en place avec le temps.

Le financement du fonctionnement était assuré au départ surtout par une association Luxembourgeoise, « Chrétiens pour le Sahel », qui versait annuellement jusqu’à 30.000 euros ; mais avec le temps et surtout le changement du représentant de cette association sur place à Ouagadougou, le financement n’a pas continué. Heureusement, les Pères Blancs de Suisse et l'association "ACAWORK" ont continué jusqu’ici à soutenir l’association (environ 10.000 euros annuels), ainsi que la famille d’un Père blanc Allemand, le père Anton Weidelener (environ 4.800 euros), et d’autres personnes ou associations (1.000 euros d’Autriche, 420 euros de deux personnes en France, ainsi que l’un ou l’autre don)

L’association continue donc à vivre, même si ce n'est pas facile tous les jours, et elle gère pour l’instant la situation de 23 enfants, qui sont pratiquement tous pensionnaires. Mais il n’y a plus que deux éducateurs, deux moniteurs d’ateliers, ainsi que la cuisinière, les gardiens, et les personnes chargées de l’alphabétisation.

La présidente Madame Linko continue de jouer son rôle avec beaucoup de générosité, et sans aucune rémunération. Malheureusement, celui qui la secondait a de graves problèmes de santé et ne peut plus lui venir en aide.

Nous pouvons cependant nous réjouir du fait que l’association continue à vivre, et il y a un projet en route, celui de la construction d’un poulailler, qui permettrait de gagner quelque argent en vendant des poulets et des œufs (parpaings pour lla construction sur les photos)

Nous gardons donc confiance dans l’avenir, et si jamais vous souhaitez contribuer à la vie de Taab Yinga, vous pouvez me contacter sur mon mail : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

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 L'atelier de menuiserie

 

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L'atelier de couture

 

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                          Séance d'alphabéttisation                                                                    Coiffure

 

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                 Détente au baby-foot                                                           La directrice au cours d'une réunion

 

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               François, éducateur                                                                            Groupe éducateurs ci-dessus

 

              Ci dessous la gardienne et sa fille                                                          Belles mangues à Taab Yinga...

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                                                                      Un groupe de jeunes plutôt détendus !                                                             

 

Ci-dessous, les parpaings qui serviront àla construction du poulailler

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 L'éducatrice Pascaline et une jeune

 

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Deux jeunes gérés par l'association

 

 

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 L'ensemble des jeunes avec leurs éducateturs

 
Vous remerciant par avance,

Pierre Béné, missionnaire d'Afrique, et gestionnaire du site    http://www.mafrwestafrica.net

Le financement participatif de proximité :
le cas de la province du Soum au Burkina Faso



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L’élevage constitue l’activité principale des ménages dans cette région.
Author provided

Seydou Ramdé, Université Aube Nouvelle

La question abordée ici est celle du financement participatif de proximité dans la région du Sahel au Burkina Faso. Cette contribution descriptive, ancrée et volontariste est l’une de celles qui seront présentées lors du colloque organisé les 22, 23 et 24 février à Ouagadougou et centré sur les formes de gouvernance en Afrique.

Il s’agit en effet de sa pertinence, de sa faisabilité et de sa mise en œuvre. Ainsi, cet article a pour objet de contribuer à repenser le management de l’autofinancement des communautés rurales dans le Sahel burkinabé. L’élevage constitue l’activité principale des ménages. La région a bénéficié de plusieurs projets. Malgré tout, le développement tarde à décoller.

Quelques constats et actions liées au développement

Ce retard peut s’expliquer par des approches du développement qui demeurent essentiellement de types ponctuels, secouristes et insuffisamment responsabilisantes. L’aide au développement a aussi contribué à instituer une situation de dépendance qui inhibe les initiatives de mobilisation des ressources locales. On constate alors une prolifération des sites miniers traditionnels avec ses conséquences y compris liées à l’apparition des mouvements terroristes.

Face à la paupérisation, certaines organisations non gouvernementales, comme l’ODE, tentent de développer des projets de promotion du revolving fund financés par Tearfund dans les communes d’Arbinda et Koutougou au Soum.

Les éleveurs du projet participent à la constitution d’un revolving fund communautaire en vendant chacun un petit ruminant (par exemple une chèvre).

Touchés par les résultats dans ces villages pilotes, 100 000 éleveurs de la commune d’Arbinda au Soum décident de s’unir pour constituer un fond communal. Ils mobiliseraient 1 500 000 000 FCFA à raison de 15 000 FCFA par éleveur. Cela permet d’octroyer 34 000 000 FCFA sous forme de revolving fund à chacun des 43 villages membres. Chaque Village financera 174 éleveurs à raison de 200 000 FCFA par bénéficiaire. Notons que le discours du Président ghanéen témoigne explicitement de la pertinence du financement participatif de proximité.

Le développement participatif en Afrique et au Burkina Faso

L’implémentation des directives de l’ajustement structurel par les pays a entraîné un vide plus ou moins rapidement comblé par la présence des organisations rurales. Cette approche privilégie la structuration du milieu rural en vue de favoriser un développement participatif. Elle n’aborde pas la stratégie de leur autofinancement.

Le peuple n’est pas vu comme partenaire financier dans les processus de mobilisation des ressources. Le cas de la gestion des crises alimentaires au Burkina Faso illustre cette réalité. Ce pays aurait pu mobiliser 30 milliards via une plateforme en demandant 3 000 FCFA auprès de 10 000 000 de burkinabè.

Les 18 500 000 burkinabè devraient être associés comme partenaires financiers dans la stratégie du financement du Programme National de Développement Économique et Social. Cela améliorerait le patriotisme positif et limiterait certaines revendications sociales.

Pour le FMI, le partenariat public-privé entraîne un surendettement du Burkina Faso.

Tout semble être organisé pour que le continent africain continue à penser que le financement doit venir du Nord. Le Président américain appelle indirectement à la rupture avec cette dépendance.

Une problématique riche et ancrée dans le Sahel

Le Burkina Faso qui a failli ne pas exister, ce pays est traumatisé et continue de l’être, de sorte qu’il est resté tributaire de l’aide extérieure. Le Sahel burkinabé ne fait pas l’exception malgré ses potentialités en ressources animales.

Le crowdfunding de proximité peut ainsi contribuer à l’autonomisation des ménages ruraux et à l’émergence d’un entreprenariat social.

Les défis principaux dans le sahel sont essentiellement liés à la maîtrise d’eau, à l’accès aux crédits et à la formation, à la jeunesse de sa population et à l’efficacité des services techniques de l’Etat. Comment alors mobiliser les 1 158 147 habitants de la région autour des projets de développement ?

Quelques données factuelles sur la région sahélienne

Le sahel est caractérisé par les faibles ressources financières des ménages mais aussi par son potentiel en ressources animales.

Les ménages peuvent donc monnayer ces ressources animales et participer aux financements des projets.

Avec 15 000 FCFA par membre et par an, la plateforme régionale mobiliserait 17 372 205 000 FCFA auprès des 1 158 147 habitants. Sur cette base, chacun des 644 villages bénéficiera d’un revolving fund de 26 975 473 FCFA. Le projet pilote ODE au Soum en est un exemple.

Le financement des gros ouvrages d’art – type barrages – comme celui du Soum est un défis pour les sahéliens.

Avec une contribution individuelle et mensuelle de 15 000 FCFA, les 1 158 147 habitants du sahel réaliseraient un barrage de 16 milliards dans chacune des quatre provinces en quatre mois. Ils financeront 26 barrages de ce genre au bout de 13 ans, soit un barrage par département. Le processus de maintien de la population sahélienne commence par son accès à l’hydraulique agricole et pastorale.

Le plus grand défis consiste à impliquer les presque 18 500 000 burkinabè au financement des projets stratégiques.

Une mise en perspective quantitative

Si 10 000 000 de burkinabè contribuent individuellement et mensuellement à hauteur de 4 000 FCFA, la plate forme nationale mobiliserait 40 milliards de FCFA. Avec ce montant, cette communauté pourrait en six mois, réaliser 15 barrages de 16 milliards, soit au moins un dans chaque région du pays.

La même communauté en 18 mois, réaliserait un barrage de ce genre dans chacune des 45 provinces du Pays. En continuant la projection, en 12 ans, la plateforme nationale financerait un barrage dans chacune des 350 communes du Burkina Faso. En doublant sa contribution mensuelle, soit 80 milliards de FCFA, elle serait aussi en mesure de financer la réalisation de 350 barrages en six ans.

Elle injecterait en un mois, 40 milliards dans le financement de 4 000 projets sans passer par une banque. En espérant que chaque entrepreneur financé, emploiera trois personnes, 12 000 emplois seront créés par an. Cette mise en perspective quantitative et financière n’est ni simpliste ni utopique, elle reflète une réalité ancrée et responsabilisante

Quelles implications au travers de ces technologies ?

Tout commence par la transformation du cœur de l’Homme de sorte qu’il soit mobilisé à contribuer même si ce n’est pas son frère qui est bénéficiaire, même si ce n’est pas son village, sa commune, sa province et sa région d’origine comme l’indique l’un des porteurs de ces projets au sein de l’ODE. Ce renouveau implique notamment la mobilisation apaisée des trois communautés religieuses majeures du pays.

Ensuite – ou plus exactement en même temps – le Burkina Faso doit rapidement se doter d’un cadre légal du financement participatif en s’inspirant en creux des avancées de la France, de l’Angleterre et des États-Unis.

Qui pour porter et piloter ces plateformes de financement participatif au Burkina Faso ?

L’auteur Didier Lapeyronnie, en 1988, mettait déjà l’accent sur le processus de formation de l’action collective et de son développement. Il explique cette action collective en accordant une place centrale aux structures organisationnelles, à leurs interactions stratégiques entre elles et aux relations entre elles et leur environnement.

En considérant alors le Burkina Faso, les communes, les provinces, les régions, les communautés religieuses comme des unités d’organisation, il est possible de les faire expérimenter le _financement participatif. _

Il s’agit d’explorer les facteurs explicatifs de la participation et du succès des opérations par ces différentes organisations.

Dans un contexte marqué par des détournements et des malversations, l’expérimentation du financement participatif à l’échelle nationale, nécessite la mise place d’une structure autonome (c.-à-d.., une haute autorité) qui garantirait sa transparence et son équité. C’est un élément clé.

Par exemple, les managers (notamment ceux qui ont la main sur les applications et leur paramétrage) des plateformes au niveau communal, provincial et regional pourraient candidater puis être élus et rendent compte au manager national.

The ConversationPuisque cette expérimentation aurait une dimension cultuelle, la ligue islamique, la Fédération des Églises et Missions évangéliques et l’Église Catholique pourraient – au pays des hommes intègres – s’unir pour expérimenter ce crowdfunding.

Seydou Ramdé, Doctorant en Sciences de Gestion, Université Aube Nouvelle

La version originale de cet article a été publiée sur The Conversation.

Père Stéphane Joulain M.Afr

Combattre l'abus sexuel des enfants
Qui abuse ? Pourquoi ? Comment soigner ?
Karlijn Demasure (Préface)

Date de parution : 07.03.2018
EAN : 9782220092041
Editeur : Desclée de Brouwer
Nombre de pages : 300


Présentation


Le scandale de l'abus sexuel sur les enfants est désormais sur la place publique. Sachant que le risque d'abus existe partout où il y a des enfants et premièrement dans la famille, l'enjeu de la lutte est immense. Si les conséquences de l'abus sexuel sur les enfants sont assez bien connues et prises en charge aujourd'hui, en particulier grâce à la victimologie, il n'en est pas de même en ce qui concerne les auteurs d'abus sexuels, du moins en France. Tel est donc l'objectif de cet ouvrage : nous permettre de comprendre le cheminement mental des auteurs d'abus sexuels, qu'ils soient prêtre, instituteur ou père de famille, mais également nous faire connaître les thérapies qui ont fait leurs preuves, en particulier dans les pays anglo-saxons, sans oublier la prise en charge de la dimension spirituelle de la vie des auteurs de ces actes, quand il s'agit de religieux ou croyants.



Psychothérapeute et prêtre membre de la Société des Missionnaires d'Afrique (Pères Blancs), l'auteur travaille cette question depuis plus de quinze ans, il accompagne les victimes et participe au traitement des auteurs d'abus sexuels au Canada. Il enseigne à Rome et en Afrique sur la prévention des abus sexuels.


Prix : 19 euros en Librairie

15 euros pour les Missionnaires d'Afrique en le commandant à la Maison généralice à Rome (+ frais de port)

 

Sous-catégories

Les informations sur nos maisons de formation datent de quelques années, et nous avons demandé aux responsables de ces maisons de nous donner des nouvelles plus récentes.
La première réponse reçue vient de Samagan, le noviciat près de Bobo-Dioulasso (lire la suite)

 

La deuxième réponse nous a été donnée par la "Maison Lavigerie", notre maison de formation à la périphérie de Ouagadougou, où les candidats ont leurs trois premières années de formation (lire la suite)