EN CHEMIN

Le bulletin du Centre Foi et Rencontre

 

Centre Foi et Rencontre BP 298 Bamako (Mali)

Téléphone : (223) 229 68 42

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Septembre 2004 n°6

Rédaction :Equipe du Centre Foi et Rencontre

Responsable : Père Josef Stamer

 
Éditorial
Les criquets ont-ils quelque chose à nous dire ?

 

Depuis quelques semaines, l'invasion des criquets fait la " une " de la presse en Afrique. Elle est devenue une préoccupation majeure pour les responsables des pays concernés, et sème la terreur parmi les populations des régions infestées. En effet il s'agit d'un combat inégal, et nos pauvres moyens sont insuffisants pour faire face à ce fléau qui n'a pas encore dit son dernier mot !

Imprévoyance ?

Depuis le mois d'août, le journal " Jeune Afrique-l’Intelligent " lançait une enquête : " Criquets: la grande invasion ", comparant la cohorte des criquets à une armée en marche qui progresse chaque jour davantage dans la région du Sahel, et dont le pouvoir de destruction dépasse l'imagination : en 24 heures, un essaim de 10 km2 peut détruire la nourriture nécessaire à 250.000 personnes ! Or, affirme l'enquête, un essaim peut mesurer près de 100 km2, réunir plus de 5 milliards d'insectes et parcourir 100 km en une journée. Les scientifiques sont unanimes pour affirmer que ce gâchis aurait pu être évité, en pratiquant la prévention selon la stratégie recommandée par la FAO. On se souvient de la dernière invasion acridienne en 1987-89 dont la cause principale fut le relâchement de la surveillance, (essentiellement pour des raisons financières). Or, en septembre 2003, quand il aurait fallu agir rapidement, les services antiacridiens du Sahel n'avaient pas assez de moyens, et la communauté internationale ne s'est pas mobilisée pour financer les actions préventives. Devant cette tragédie et ce constat, notre esprit critique a vite fait de conclure que l'invasion des criquets est " le fléau de l'imprévoyance ". Nous savons bien que les responsabilités sont partagées. Et il est toujours plus facile de montrer les autres du doigt, que de se remettre en cause. Au fond de nous-mêmes, on compte aussi sur Dieu. Or, la parole de Dieu en la matière, dans la Bible au livre des Proverbes (27, 12), nous rappelle que ... " l'homme avisé voit venir le malheur et agit à temps !"

 

Solidarité ?

Un immense élan de solidarité fraternelle est né à la suite de cette invasion. Chaque jour, les informations radios et télévisées nous tiennent au courant du progrès de la lutte antiacridienne dans le pays. Une aide internationale soutient la FAO, et au niveau national, une mobilisation de toutes les bonnes volontés s'est mise en place. Début septembre, le Conseil National du Patronat du Mali a installé un comité de collecte de fonds. Le gouvernement donne l'exemple, les partis s'organisent, le Collectif des Femmes du Mali lancent le " cri du cœur " et un appel à la diaspora est lancé !

Il est encore trop tôt pour faire le bilan, mais une chose est sûre: la solidarité humaine, et la solidarité dans l'épreuve dont la Bible nous présente des exemples vivants et que Saint Paul nous invite à réaliser quand il dit aux Corinthiens, " Si un membre souffre, tous les membres partagent sa souffrance " (1 Co 12,26) ces solidarités font l'honneur de notre société, et confirment que " l'amour est plus fort que la mort ". Oui, la solidarité l'emportera sur l'invasion des criquets ! Les lieux saints de l'islam que les pèlerins parcourent lors du " hajj ", gardent le souvenir d'Abraham. Mais le fait que le Coran (37,100-109) n'identifie pas le fils à immoler, laisse la porte ouverte à plusieurs interprétations. La tendance majoritaire, mais tardive, voit dans le fils à immoler Ismaël. Le geste d'Abraham est alors un pur geste de soumission. La tendance primitive et notamment celle des " sûfi-s " (mystiques), rejoint plutôt la tradition biblique pour dire qu'il s'agit bien d'Isaac. En cela ils sont plus proches du texte coranique qui, par deux fois, mentionne Isaac à côté de son père (Coran 37, 110-113). Isaac, le " fils prêt au sacrifice " devient alors " annonce", " prototype " de cet " Agneau sans tâche ni défaut " (cf Ex 12,5), du " Juste offert pour le péché de la multitude ".

Père Pierre Landreau.

 

Les petits criquets … armés de Kalachnikov !!!

 

En publiant “La petite fille au Kalachnikov”, China Keitetsi, une ougandaise aujourd’hui âgé de 28 ans,, ancienne “enfant soldat” dénonce cet autre fléau qui lui, s’attaque à la culture de l’humanité ... et ne dure pas que le temps d’une saison des pluies ...

 

Combien sont-ils, âgés de moins de 18 ans, à mourir pour des causes auxquelles ils ne comprennent rien ? Selon la Coalition pour mettre fin à l'utilisation d'enfants-soldats : 300000 gamins combattraient dans une trentaine de pays, parmi eux, 120000 Africains. Pourtant, la Cour pénale internationale considère le recrutement de mineurs de moins de 15 ans comme un crime de guerre depuis 1998. L'archevêque Desmond Tutu s'emporte: " Il est immoral que les adultes désirent que les enfants fassent la guerre pour eux. Il n'y a simplement pas d'excuse, pas d'argument acceptable, pour armer les enfants. " Belles paroles! Mais sont-elles entendues au Soudan, en Ouganda, au Congo, en Angola, au Pakistan, en Colombie, au Mexique, aux Philippines et dans bien d'au- tres pays ? China Keitetsi, 28 ans, a réussi à coucher sur papier son expérience dans l'armée ougandaise de Yoweri Museveni, avant et après sa prise du pouvoir en 1986. Aujourd'hui réfugiée au Danemark, elle a entamé une longue psychothérapie. " La petite fille au Kalachnikov " est un témoignage brut. Traduit en sept langues, il sera bientôt adapté au cinéma.

(extraits dans “JA-l’Intelligent” n° 2280, page 62)

(Documentation Catholique n°2300 du 19.10.03 page 921)

 

MADAME TAL TAMARI NOUS A RENDU VISITE

 

La matinée du vendredi 16 avril 2004, Madame Tal Tamari, franco-américaine, chercheur au CNRS de Paris, attachée au laboratoire des mutations africaines dans la longue durée, a donné une conférence sur la transmission de l’enseignement islamique au Mali devant une vingtaine d’auditeurs(trices). C’était la première conférence dans le Centre Foi et Rencontre ...

 

 

Quinze années de recherche

Au cours de ses études universitaires en 1980, Madame Tamari découvre qu’au Mali, de nombreuses recherches ont été entreprises sur les cultures dogon, mandingue .. mais peu sur l’enseignement islamique. Elle va s’attacher à combler ce manque. Elle apprend alors l’arabe et s’informe sur le contexte des castes. Elle effectue plusieurs voyages au Mali, qui l’amènent à Ségou, Kolokani, Nianko, San ... où elle rencontre ici, tel marabout érudit, là tel professeur de médersa ... Elle note, enregistre et, selon sa méthode, interroge peu, afin de ne pas provoquer une réponse convenue. Ce travail fastidieux lui permet des découvertes qu’elle nous a partagées lors de sa conférence.

 

Quand le bambara se mêle à l’arabe ...

Il suffit de prêter l’oreille à l’approche d’une médersa pour entendre les enfants réciter à tue-tête des extraits du Coran sous la conduite d’un maître. C’est la première étape, la plus souvent proposée aux élèves : on mémorise sans comprendre le texte, le plus souvent écrit sur une tablette. À certains endroits, comme à Dia, il est même recommandé, après ces exercices, d’écrire le Coran de mémoire. La seconde phase consiste, pour le professeur, à s’arrêter sur quelques mots, qu’il lit à haute voix, et qu’il traduit dans la langue, bambara le plus souvent au Mali. À la fin du cours, il ajoute des explications grammaticales et, selon les lieux, il développe un enseignement théologique ou évoque des questions relatives au droit. Certains vont même jusqu’à étudier la littérature arabe profane, à l’aide des fameux 135 poèmes préislamiques mais cette pratique est contestée par quelques uns.

 

l’Islam et la religion traditionnelle

La conférencière, à l’instar de nombreux chercheurs, a souvent été intriguée de découvrir des apports islamiques, dans certains mythes ou prières du monde traditionnel.Dans la profession de foi du Komo (société initiatique masculine en milieu bambara) on trouve par exemple, une liste de noms de Dieu, très proche de l’Islam. On y parle aussi d’un seul créateur, d’une seule soumission ... etc.

En remerciant Madame Tamari, le Père Josef Stamer n’a pas craint d’employer le terme d’”inculturation” pour montrer comment les musulmans du Mali s’approprient, dans leurs langues et leurs cultures, les richesses de leur foi. faisons-nous des efforts semblables à notre niveau ? Grand merci à Madame Tal Tamari pour la simplicité avec laquelle elle nous a partagé ses recherches.

Père Alain Fontaine.

 

LES SECTES AU MALI

 

Sœur Bernadette Michel Diarra (FCIM) nous entretient ici sur la mécanique des sectes ... extraits de ses conférences auprès des jeunes à Bamako.

 

o En guise de définition

 

Étymologiquement, le mot " secte " vient du latin séqui, suivre (un maître, une doctrine). Le mot secte viendrait aussi de secare, couper. Cette idée de coupure correspond bien à une réalité, puisqu'il n'existe pas de " secte " dans l'absolu, mais seulement par rapport à des institutions religieuses dominantes. Le mot est surtout employé pour désigner les petits groupes issus du christianisme. En général, pour les mouvements non chrétiens, surtout d'origine orientale, on emploie le terme de " nouveaux mouvements religieux ".

La secte aspire à ne regrouper que des croyants convaincus. Elle manifeste souvent une orientation exclusive : le groupe a tendance à se considérer comme le petit troupeau des élus, l'authentique Église sur terre. La secte estime détenir la plus authentique compréhension du message évangélique (retour à la pureté du christianisme originel ou révélation à son fondateur venant apporter une nouvelle lumière).

 

o Les trois piliers d’une secte

 

Une secte sectaire se reconnait à son fonctionnement articulé sur trois piliers : un Gourou - une doctrine - un groupe.

 

* Un Gourou

À la tête de chaque secte, on trouve un " maitre ", un " leader craint et aimé ", admiré et adoré : un sauveur à qui les adeptes vouent un véritable culte.

Ces maitres sont souvent des prophètes inspirés, investis d'une mission divine ou humanitaire, gratifiés de visions, d'apparitions, de révélations et dotés de pouvoirs miraculeux. Animés d'une volonté de puissance, les gourous sont également dominateurs, autoritaires et despotes, sous un abord humble et chaleureux. Ainsi se réalise le processus de la manipulation mentale : séduction, destruction, reconstruction.

 

* Une doctrine

Le gourou manipule ses adeptes à partir d'une doctrine, d'un message dont il est l'unique détenteur, message de salut, ultime, unique, universel, message séducteur qui semble répondre parfaitement à toutes les aspirations des hommes de notre temps: la promesse assurée de la santé, de guérir ou d'être guéri, de retrouver la pleine harmonie de son être, de parvenir à la connaissance de soi et du monde, de vivre l'amour, le bonheur parfait, de trouver la paix et d'obtenir l'immortalité. Mais ce message a pour but d'endoctriner; l'utilisation de thèmes successifs qui se remplacent avec une extrême rapidité suffit pour empêcher toute réflexion personnelle. C'est ainsi que l'on parvient à détruire les convictions les plus profondes.

 

* Le groupe

C'est la famille, la vraie, la seule famille, la famille des sauvés.

-Un groupe chaleureux et cohésif où l'on aime et est aimé comme jamais auparavant (les moonistes appellent Moon et sa femme " nos vrais parents ")

- Un groupe très structuré et hiérarchisé: l'organisation est totalisante et contraignante, avec des règles de vie strictes (régime alimentaire, réglementation des relations sexuelles, mariage décidé ou cassé par le gourou, etc).

- Une transparence totale par laquelle on livre entièrement ses pensées, sa vie la plus intime; arme dangereuse aux mains de la secte qui menacera de s'en servir si l'adepte veut quitter la secte.

- Une obéissance aveugle: le gourou ou le groupe peut faire faire, croire et dire n'importe quoi.

- La rupture avec l'extérieur. Parents, famille, amis, institutions, deviennent des force négatives, dangereuses.

Ainsi, sous la pression affective du gourou et du groupe, l'adepte perd tout esprit critique, tout libre arbitre et devient un inconditionnel prêt à tous les fanatismes.

 

o Le mouvement sectaire au Mali

À la différence des pays côtiers, le Mali n’a jamais accueilli de très nombreuses sectes mais la croissance est suffisamment significatives, ces dernières années, pour qu’on s’y intéresse de plus près. Les quatre grandes sectes que l’on rencontre au Mali, sont “Les Témoins de Jéhovah”, “Les Moonistes”, “Les Rosicruciens” et “Les Néo-Apostoliques”.

Sœur Bernadette Michel Diarra.

 

L’ESPACE DE PRIÈRE – LA PRIÈRE DU PATRIARCHE ATHÉNAGORAS

 

Je n'ai plus peur de rien. J'ai renoncé au comparatif. La guerre la plus dure, c'est la guerre contre soi-même. Il faut arriver à se désarmer. J'ai mené cette guerre pendant des années, elle a été terrible. Mais je suis désarmé. Je n'ai plus peur de rien, car l'amour chasse la peur. Je suis désarmé de la volonté d'avoir raison, de me justifier en disqualifiant les autres. Je ne suis plus sur mes gardes, jalousement crispé sur mes richesses. J'accueille et je partage. Je ne tiens pas particulièrement à mes idées, à mes projets. Si l'on m'en présente de meilleurs, ou plutôt non, pas meilleurs mais bons, j'accepte sans regret. J'ai renoncé au comparatif. Ce qui est bon, vrai, réel, est toujours pour moi le meilleur. C'est pourquoi je n'ai plus peur. Quand on n'a plus rien, on n'a plus peur. Si l'on se désarme, si l'on se dépossède, si l'on s'ouvre au Dieu-Homme qui fait toutes choses nouvelles, alors, Lui, efface le mauvais passé et nous rend un temps neuf où tout est possible. (Patriarche Athénagoras, 87 ans).

 

LE PAPE ET L’AMBASSADEUR

 

Récemment, à l’occasion de la présentation de ses lettres de créances l’accréditant comme Ambassadeur du Mali auprès du Saint Siège, son Excellence Mohammed Salia Sakana a évoqué les bonnes relations qui existent, au Mali, entre les différentes confessions religieuses. Extraits de la réponse de sa sainteté, le pape Jean-Paul II ...

 

Le dialogue respectueux et les relations constructives entre les membres des diverses communautés religieuses qui composent une nation sont un puissant soutien au renforcement de la paix et de la concorde entre tous les citoyens. Il importe cependant, pour maintenir et développer un esprit de confiance et de collaboration entre tous, que les responsables civils et religieux contribuent sans cesse à renforcer les conditions d'exercice d'une véritable liberté religieuse. Les croyants sont invités à manifester que Dieu les a faits membres d'une même famille, les a revêtus d'une même dignité et les appellent à s'engager toujours plus dans le service du bien commun. Il est notamment capital " d'enseigner aux jeunes le chemin du respect et de la compréhension, afin qu' ils ne soient pas conduits à faire un mauvais usage de la religion elle-même pour promouvoir ou pour justifier la haine et la violence " (Discours à la Mosquée des Omeyyades, Damas, 6 mai 2001). J'encourage les croyants, unis à tous les hommes de bonne volonté, à poursuivre le dialogue de la vie, ciment de la connaissance et de la confiance, nécessaires au bien de la famille humaine tout entière (...)

Dans un esprit de confiance réciproque, il paraît souhaitable qu'un véritable dialogue se poursuive entre les diverses instances ecclésiales et l'État pour permettre à l'Église catholique au Mali de bénéficier d'une reconnaissance effective et stable comme institution à part entière dans la société. Ainsi, elle pourra accomplir sa mission spirituelle auprès de ses membres et, à travers ses œuvres, se mettre toujours plus efficacement au service de tous les Maliens, sans distinction.

 

In Memoriam – Madame GeneviÈve faucouneau

 

Samedi 17 juillet, Madame Geneviève Faucouneau, sœur de Sœur Françoise Dartigues (SMNDA) de l’équipe permanente du Centre Foi et Ren-contre, s’éteignait en France, à la suite d’une longue maladie. “En Chemin” présente ses condoléances à Sœur Françoise, à sa famille et à sa communauté, et l’assure de sa prière.

 

ActivitÉs du Centre Foi et Rencontre de Bamako

 

t Le 16 avril, une première au Centre Foi et Rencontre : la conférence de Madame Tal Tamari sur l'enseignement de l'islam au Mali (page 2)

t À la demande de la paroisse cathédrale de Bamako, plusieurs rencontres ont eu lieu dans les CCB, de décembre à mai, en soirée : à Darsalam, à Ntomikorobugu, à Hamdallaye, à Jikoroni et Filabugu, à Jikoroni-koda, à Jikoroni- usine de céramique, à Jikoroni Turukabugu, à Jikoroni-St Damien, à Jikoroni-camp Para, à Ouolofobugu-Bolibana.

t Le 20 avril, le Père Pierre Landreau et sœur Françoise Dartigues rencontraient les monitrices du Centre de Jelibugu.

t Le 21 avril, le Père Jean Bevand participait à la session de formation des catéchistes à Ntonimba.

t Le 25 mai, les Pères Alain Fontaine et Pierre Landreau et la sœur Françoise Dartigues étaient les invités de la journée de la jeunesse chrétienne de Bamako. Le Centre était chargé d'animer les conférences sur le thème du dialogue interreligieux.

t En juin, juillet et août, plusieurs membres du comité vont animer des temps forts spirituels ou participer à de grandes rencontres internationales : Chapitre général des Missionnaires d'Afrique à Rome, pour les Pères Josef Stamer et Jean Bevand; session à Bobo Dioulasso sur le thème des sacrements pour Sœur Françoise Dartigues et rencontre avec des jeunes de la Caritas (le 4 août); retraites spirituelles animées par le père Alain Fontaine, à Bamako et à Ouagadougou.

t Le 4 août, Sœur Françoise Dartigues rencontrait, à Hamdallaye, un groupe de jeunes français invité par la Caritas.

t Le 7 août, Sœur Bernadette M. Diarra a rencontré la coordination des jeunes de Bamako pour une journée sur l’impact des médias.

t Les 1 et 2 septembre, à Ntonimba, journées de formation pour les laïcs - interventions du Père Josef Stamer et des Sœurs Françoise Dartigues et Bernadette M. Diarra.

 

Courrier des lecteurs

 

t Du Père Renzo Piazza, combonien travaillant au Tchad ... “ À deux reprises, j’ai été l’hôte du Centre Foi et Rencontre pendant cet hivernage. De retour à Ndjaména, je vous adresse mes remerciemenst et mes encouragements pour tout ce qui se fait à Bamako et au Mali à l’endroit du dialogue et de la rencontre.”

 

t Du Père Sébastien Condé, étudiant à Rome ... “ Monsieur l’Abbé Gaston Coulibaly me transmet régulièrement ce qu’il reçoit du Centre Foi et Rencontre de Bamako. Félicitations pour votre travail et courage pour vos efforts qui tendent à rapprocher des fils d’Abraham dans la foi”.

 

Calendrier 

 

t 12 octobre 2004, inauguration officielle du Centre Foi et Rencontre à l’occasion des journées pastorales de rentrée à Hamdallaye.

 

t Le Père Pierre Landreau et la Sœur Françoise Dartigues animeront une récollection pour les animatrices des centres de promotion de Kati et Bougouni, le 2 octobre à Sebeninkoro.

 

t Le Père Alain Fontaine animera deux retraites en septembre et octobre, respectivement pour les sœurs FCIM et le noviciat interafricain de San.

 

 

 

Bonne rentrée à tous !

L’équipe du Centre.